Foire aux questions
Pourquoi choisir Voluntas plutôt qu’une autre entreprise?
En choisissant Voluntas, vous êtes assurés de recevoir les services que vous avez besoin de la façon que vous désirez les recevoir.
Vous bénéficierez d’une approche amicale et sincère tout au long de votre expérience avec nous, et au delà.
Vous transigerez avec du personnel formé et qui est au fait des nouvelles tendances et technologies.
Vous économiserez, car notre approche permet de réduire les coûts reliés aux événements funéraires.
Vos démarches seront simplifiées puisque nous accomplirons plusieurs tâches pour vous.
Vous encouragerez une entreprise d’ici qui privilégie les entreprises et les organismes locaux.
Venez le constater par vous-mêmes en venant prendre un café ou thé avec nous.
Lors d’un arrangement funéraire préalable, comment puis-je être assuré (e) que mon argent est en sécurité?
La loi A-23.001, appelée « Loi sur les arrangements préalables de services funéraires et de sépulture », protège les fonds des clients lors de la signature d’un contrat d’arrangements préalables.
L’entreprise funéraire doit, dans les 45 jours de la perception, déposer en fidéicommis au Québec toute somme qu’elle perçoit en vertu d’un contrat d’arrangements préalables de services funéraires. Le dépositaire doit fournir une preuve de dépôt. De plus, les intérêts engendrés par ce placement financier serviront à couvrir l’inflation au fil des ans. À moins d’une annulation du contrat ou d’autres raisons extraordinaires, les fonds ne seront accessibles que lorsque le bénéficiaire du contrat décèdera, preuve à l’appui.
Pour en savoir davantage sur les arrangements préalables de services funéraires, venez rencontrer un membre de notre équipe sans obligation et sans frais.
Dois-je obligatoirement être inhumé(e) dans un cimetière?
Pour une question de santé publique, une dépouille dans un cercueil doit obligatoirement être inhumée dans un cimetière ou un mausolée situé dans un cimetière.
Les restes cinéraires ou d’aquamation (cendres) peuvent être inhumés dans un cimetière, mis en niche dans un cimetière ou une entreprise funéraire, être gardés à la maison, transportés dans un autre pays en fonction de la législation locale ou être dispersés ou inhumés dans un lieu de votre choix.
En ce qui concerne la dispersion ou l’inhumation dans un lieu particulier, il est statué que tant que vous avez la permission du propriétaire de l’endroit (propriétaire privé ou la Couronne pour des terres publiques), vous pouvez en disposer à cet endroit. Il est important de s’assurer avec la ville concernée qu’aucun règlement municipal ne vous empêche de disperser les cendres à l’endroit choisi.
Il est également possible de disposer des cendres dans un jardin ou une propriété privée, par contre, lors de la vente de celle-ci il y aura obligation de déclarer ce fait.
Nous avons une collection d’urnes de jardin qui permet d’extraire facilement les urnes afin de les relocaliser.
Je ne veux pas de funérailles, quelles sont mes options?
Plusieurs personnes préfèrent que la disposition de leur corps se fasse de façon privée, que ce soit par inhumation, crémation ou l’aquamation.
Un simple au revoir au cimetière ou au lieu de dispersion des cendres est un temps d’arrêt qui peut être approprié pour combler vos désirs et ceux de vos proches.
Il est possible de planifier des célébrations de vie plutôt que des services funéraires. Souvent, le partage de souvenirs par des éloges, des musiques particulières ou tout simplement un repas avec un bon vin permettra aux survivants d’honorer votre vie. Ce rassemblement peu être intime ou public.
Nous avons développé une expertise dans l’élaboration d’un plan de fin de vie à votre image. Une rencontre d’une heure pourra vous éclairer sur les différentes possibilités pour faire des choix éclairés.
Où peut avoir lieu ma commémoration?
Certaines familles nous ont demandé de les servir dans des endroits variés tels que des domiciles privés, des centres communautaires, des restaurants, des parcs, des yachts clubs, des lieux historiques, des hôtels, des clubs privés, des lieux de culte, salon funéraires, etc. Les possibilités sont infinies, tant que les propriétaires des lieux sont d’accord avec le type d’évènements organisés.
Nous avons servi plusieurs familles dans des lieux magnifiques. Visitez notre album de photos.
Quelle est la différence entre des funérailles et une commémoration?
Le terme funérailles est utilisé pour des cérémonies religieuses, donc ayant lieu dans les églises chrétiennes, ayant pour but de rendre honneur à la personne décédée. La cérémonie doit avoir lieu en présence du défunt, que ce soit son corps ou ses restes cinéraires, et permet le repos de son âme.
Le terme commémoration est plutôt utilisé dans un sens plus large : c’est un temps d’arrêt où les survivants se rassemblent pour honorer l’existence d’un proche disparu. Il n’y a pas de forme préétablie pour ce type de rassemblement, ce qui permet aux familles de personnaliser la cérémonie et d’organiser un évènement à l’image du disparu. Le cercueil ou l’urne ne sera pas nécessairement présent à l’évènement et celui-ci peut prendre place en plusieurs endroits. Un membre du clergé, un maître de cérémonie, un célébrant ou un membre de la famille peut officier la cérémonie.
Pour en savoir davantage sur les tendances actuelles, visitez notre section « Tendances ».
Comment puis-je faire un don d’organes et/ou de tissus après mon décès?
Pour faire un don d’organes, il est impératif que le décès ait lieu à l’hôpital afin que les professionnels de la santé puissent récupérer les organes et/ou tissus dans les instants suivant le décès. Il n’y a pas de formulaire ou d’endroit où téléphoner, vous n’avez qu’à signifier vos intentions au personnel soignant. Ils feront ensuite les démarches pour :
Voir si le donneur potentiel se qualifie.
Faire le suivi pour que le don puisse avoir lieu.
Le don d’organe est sous la régie de Transplant Québec et le don de tissus est sous la régie d’Héma-Québec.
Peu importe la nature du don, cette démarche n’empêche pas l’exposition du corps ou toutes autres formes de commémoration de vie.
Comment puis-je faire don de mon corps pour l’enseignement et la recherche?
Au Québec, il n’y a que cinq établissements scolaires qui acceptent les corps pour l’enseignement et la recherche et chaque institution a ses propres protocoles, règlements et formulaires à remplir. Avant tout, vous devez remplir la carte de donneur pour permettre le don du corps et vous devez la signer devant deux témoins. Certains établissements paieront pour la crémation une fois leurs recherches terminées, d’autres non. Il est donc important de vérifier les détails lors de votre vivant et de faire ses arrangements préalables de services funéraires pour ne pas que vos proches aient de surprise au moment du décès.
Si cette option vous intéresse, sachez que nous pouvons vous fournir lesdites cartes de don de corps et vous expliquer en détail la procédure. De plus, nous sommes également en mesure de vous aider à planifier la commémoration de votre vie.
Qu’est-ce que la crémation ?
La crémation est le procédé par lequel une personne décédée est réduite en cendres par la chaleur. La dépouille est insérée dans le four crématoire dans un contenant de crémation en carton ou en bois ou dans un cercueil de bois. Ce contenant est soumis à une flamme et une chaleur élevée (1000 °C) et se consume, entrainant la dégradation de la dépouille, jusqu’à ce qu’il ne reste que cendres et ossements. Le délai de la crémation est d’environ deux heures. Lorsque la crémation est terminée, les ossements sont récupérés et soumis à une période de refroidissement, jusqu’à ce qu’ils atteignent la température ambiante. Les objets métalliques présents dans les restes cinéraires (agrafes, prothèses, etc.) sont retirés pour être recyclés. Les cendres et les ossements sont ensuite réduits à l’aide d’un broyeur mécanique pour produire les cendres que l’on dépose dans l’urne cinéraire. Une seule personne décédée est introduite à la fois dans la chambre de crémation et le four crématoire est vidé entre chaque crémation. La quantité de cendres produites est directement proportionnelle à l’ossature de la personne décédée et le type de contenant ou cercueil sélectionné. Un fœtus ou un très jeune enfant ne produira que très peu ou pas de cendres puisque l’ossification de son squelette n’est pas complétée. La loi exige qu’un délai de 12 heures s’écoule entre l’heure du constat du décès et la crémation.
Qu’est-ce que l’aquamation ou la bio-crémation?
L’aquamation est un choix écologique comparativement à la crémation, car elle ne requiert pas de cercueil de crémation, émet peu ou pas de CO2, utilise trois fois moins d’électricité et peu ou pas de gaz naturel. De plus, les matières plastiques et métalliques qui se trouvent dans le corps, comme des prothèses, plombages et stimulateurs cardiaques sont récupérés et recyclés.
L’aquamation est le procédé par lequel une personne décédée est réduite en cendres par l’hydrolyse alcaline. La dépouille est insérée dans l’unité d’aquamation et en combinant chaleur et alcalinité à une eau en circulation, on accélère ainsi le processus d’hydrolyse des tissus. Une seule personne décédée est introduite à la fois dans l’unité d’aquamation et celle-ci est nettoyée après chaque utilisation. Le corps étant composé de 65% d’eau, il est retourné à la nature par dissolution aqueuse, les seuls restes solides étant les ossements. Le délai de l’aquamation varie entre douze (12) et dix-huit (18) heures, en fonction du poids de la personne décédée, et si elle a été embaumée ou non. Lorsque l’aquamation est terminée, les ossements sont récupérés et soumis à une période de séchage naturel ou accéléré. Les objets métalliques présents avec les ossements (agrafes, prothèses, etc.) sont retirés pour être recyclés. Les ossements sont ensuite mélangés et réduits à l’aide d’un broyeur mécanique pour produire les cendres que l’on dépose dans l’urne cinéraire. La quantité de cendres produites est directement proportionnelle à l’ossature de la personne décédée. Un fœtus ou un très jeune enfant ne produira que très peu ou pas de cendres puisque l’ossification de son squelette n’est pas complétée. La loi exige qu’un délai de 12 heures s’écoule entre l’heure du constat du décès et l’aquamation. De plus, la personne ne peut pas être porteuse des maladies à déclaration obligatoire suivantes : Creutzfeldt Jakob et tuberculose.